Elle réclame le remboursement des dépenses pour un aller-retour Montréal-Rouyn, à toutes les semaines. La CNÉSST lui a accordé le remboursement d’un aller-retour par mois, vu la distance de près de 1200 kilomètres et le fait qu’elle n’avait pas d’enfant en bas âge. Le tribunal a jugé que cette décision était raisonnable et correspondait à « la solution appropriée la plus économique ». Oui, j’ai droit de recevoir une indemnité qui remplace l’indemnité du conjoint si ma mère ou mon père n’avait pas conjointe ou de conjoint au moment de son décès et que je suis enfant mineur. À noter cependant qu’un décès qui survient par le fait ou à l’occasion des soins qu’une travailleuse ou qu’un travailleur reçoit pour une lésion professionnelle ou de l’omission de tels soins est considéré comme étant une lésion professionnelle. J’inclus également les revenus d’autres emplois du même genre que la travailleuse ou le travailleur a exercé durant les 12 mois précédent l’arrêt de travail.
Nous vous recommandons de demander un deuxième avis auprès de nos bureaux assez tôt dans le dossier sans quoi, il se peut qu’il soit trop tard pour poser les bonnes actions. Bien qu’il faille rester poli et collaborer avec les agents de la CNESST, il est important de comprendre que ces derniers peuvent vous induire en erreur. Par exemple, les agents peuvent vous dire que votre dépression ne peut pas être acceptée, oto il est trop tôt ou trop tard, que vous n’avez plus le droit à des traitements ou que vous avez épuisé le nombre de séances permises. Demandez une décision écrite et prenez rendez-vous avecBellemare avocatspour la contester. Il est préférable de faire appel àBellemare avocatsle plus rapidement possible afin de vous orienter sur les démarches à effectuer. Elle ne constitue pas des conseils juridiques pour une situation particulière et ne vise pas à remplacer les conseils d’un représentant qualifié.
« Au CISSS de Laval seulement, ReLIGIOpeDIa.CoM 292 cas sont rapportés parmi le personnel de la santé. Il est déplorable que nous devions aujourd’hui interpeller l’employeur quant à son devoir de mettre en place les mesures adéquates afin d’assurer la protection du personnel ainsi que leur santé et leur sécurité. Aucun établissement en santé peut actuellement se permettre de perdre des employés faute de prévention et d’équipements.
Ceux-ci se produiront inévitablement tant que des produits seront fabriqués ou que du personnel sera employé, quel que soit le secteur d’activité. Si vous subissez un accident de travail, vous avez droit à diverses prestations, mais ces droits sont assortis de conditions. Apprenez-en plus sur la réglementation en matière d’indemnisation grâce à cet article.
L’employeur qui ne se conforme pas au présent article ou qui, sciemment, transmet ou fait transmettre une fausse information à la commission, commet une infraction et est tenu, en outre de toute autre peine ou responsabilité qu’il encourt en vertu de la présente loi, de payer à la commission, si elle en ordonne ainsi, le montant des prestations qu’elle peut accorder sur preuve ou informations jugées suffisantes. Quand un travailleur subit un accident au cours de son emploi dans des circonstances telles qu’il en résulte pour un bénéficiaire un droit d’action découlant de la faute d’une personne autre qu’un employeur dont l’industrie est assujettie à la présente loi, ce bénéficiaire, s’il a droit à une prestation, peut, à son option, réclamer cette prestation ou exercer ce droit d’action. Les employeurs incitent souvent leurs employés blessés à puiser dans leur banque de congés de maladie pour éviter la paperasse du processus d’indemnisation.
Quel que soit l’environnement de travail dans lequel les entreprises évoluent, protéger la santé et la sécurité du personnel est la base d’une entreprise saine et efficace. Les articles 227 et 228 de la Loi sur la santé et la sécurité du travail (chapitre S‐2.1) édictés par l’article 548 s’appliquent à une sanction ou à une mesure imposée à compter du 19 août 1985. Le coût de la rente et de l’indemnité visées dans le premier ou le deuxième alinéa est imputé aux employeurs de toutes les unités.
Le Règlement sur la nomination des membres du comité d’experts médicaux (R.R.Q., 1981, chapitre I-7, r. 1) demeure en vigueur à seule fin de terminer le traitement des réclamations faites par les personnes qui ont droit à une indemnité en vertu de la Loi sur l’indemnisation des victimes d’amiantose ou de silicose dans les mines et les carrières (chapitre I‐7). La Commission peut, par règlement, modifier ou remplacer ces programmes conformément aux articles 56.1, 124 et 125 de la Loi sur les accidents du travail. Ce pourcentage est égal à la différence entre le pourcentage établi en vertu du paragraphe 2 de l’article 35 de cette loi, selon le nombre de personnes à charge à la date de l’option, et 55%, divisée par le nombre des personnes à charge, autres que le conjoint, qui existent à cette date. De même, une personne qui reçoit une assistance financière en vertu d’un programme de stabilisation sociale n’a pas droit à une indemnité de remplacement du revenu. La Loi sur l’indemnisation des victimes d’amiantose ou de silicose dans les mines et les carrières (chapitre I-7) demeure en vigueur aux fins du traitement des réclamations faites en vertu de cette loi avant le 19 août 1985, ou en vertu du premier alinéa de l’article 576. Un travailleur poursuivi pour une infraction à la présente loi est dégagé de sa responsabilité s’il prouve que cette infraction a été commise malgré son désaccord et à la suite d’instructions formelles de son employeur.